Un sabordage en règle, où les humains font l’impossible pour mettre à sac les ressources dont ils disposent.
Sabordage
mercredi 21 octobre, 10h
Durée : 1h20 (rencontre)
P.A.F. : 7€
Espace Théâtre (350 places)
Dossier d’accompagnement
Public : à partir de la 4e secondaire
du Collectif Mensuel et de Nicolas Ancion
par le Collectif Mensuel
conception et mise en scène : Collectif Mensuel
Assistant Fabrice Piazza scénographie et costumes : Claudine Maus
direction technique et création éclairage : Manu Deck
son : Johann Spitz
régie lumière et vidéo : Nicolas Gilson
vidéo : Juliette Achard conseillers vidéo : Camera-etc et Ian Menoyot
avec Sandrine Bergot, Quentin Halloy, Baptiste Isaia, Philippe Lecrenier et Renaud Riga
Après l’énorme succès de Blockbuster, qui dénonçait les excès du capitalisme, le Collectif Mensuel s’attaque cette fois aux mécanismes humains qui poussent les sociétés à se laisser aveugler, jusqu’à l’autodestruction, par les mirages de la croissance et de la surconsommation. Le sujet a beau être dramatique, le spectacle ne se prend jamais au sérieux. Avec humour et impertinence, il nous invite à réfléchir collectivement à l’avenir de notre monde.
Trois comédiens et deux musiciens remixent en version rock ’n’ roll l’apocalypse annoncée. Le mélange de musique live, de séquences télé braconnées, de théâtre, de claquettes, de vidéos montées en direct, de bruitages et de faux dialogues convoquent sur la scène les enjeux qui embrasent notre societé et, littéralement, notre planète. Sur le plateau de Sabordage, la fin du monde ressemble foutrement à un feu d’artifice ou à un spectacle qui ne se joue qu’une fois.
Il était une fois une petite île paradisiaque qui coule à pic, passant du miracle économique au désastre écologique. Cette histoire, c’est celle de notre planète bleue, en version miniature.